Good morning England or America !

 

Les classiques c’est fantastique !

C’est désormais un rendez-vous donné par Fanny et moi chaque dernier lundi du mois autour d’un thème défini. L’idée était au moins de s’assurer d’une lecture par mois entrant dans la sacro-sainte classification des classiques. Après un rendez-vous zolien pour lancer les festivités, nous avons choisi d’aller voir du côté des États-Unis ou de l’Angleterre si nous y étions. Et comme pour certaines d’entre nous, faire un choix relevait de l’impossible, le rendez-vous du lundi s’est vu prolonger une partie de la semaine… De belles découvertes et de furieuses envies d’ailleurs à tamponner sur nos passeports bloguesques.

Les classiques américains

◊ Fanny et moi avons – sans aucune concertation – foulé le bitume des routes californiennes du roman de Steinbeck Des Souris et des Hommes (Nos chroniques ici et là.)

◊ Comme il semblerait que John Steinbeck ait un certain succès, Natiora a choisi de nous parler de La Perle.

◊ J’ai goûté avec plaisir à la poésie de la prose de Richard Brautigan et de ses Mémoires sauvés du vent et au cynisme drôle et grinçant de John Fante dans Mon Chien Stupide.

◊ Natiora a poursuivi son escapade américaine avec le glaçant Inconnu à cette adresse de Kressmann Taylor.

◊ Fanny a trouvé de quoi s’installer sur la barque imaginaire d’Hemingway sans troubler Le Vieil homme et la mer.

◊ Paolina n’a pas eu peur d’être radiée de ce challenge en choisissant l’auteur dont je ne parviens à terminer aucun titre. Elle avait rendez-vous avec Paul Auster dans sa Trilogie New-Yorkaise.

◊ Céline (Mes échappées livresques) a rejoint notre RDV en nous faisant découvrir Le Coeur est un chasseur solitaire de Carson McCullers.

◊ Maghily a joué le jeu à fond en lisant en VO le célèbre Ne tirez pas sur L’oiseau moqueur. Natiora de son côté a lu l’adaptation BD du roman d’Harper Lee.

Les classiques so british

◊ J’ai commencé la semaine en gambadant – le cœur palpitant – dans les plaines anglaises de Watership Down de Richard Adams.

◊ Alice (Ça Sent Le Book) m’a fait découvrir un roman qui est désormais sur ma PAL avec une escapade inquiétante sur L’île du docteur Moreau signé H.G. Wells.

◊ Succès confirmé des docteurs – effet post confinement oblige? – avec la chronique de Natiora et du roman Le docteur Thorne d’Anthony Trollope et celle de Fanny qui n’a pas tremblé face à la folie du Docteur Frankenstein de Mary Shelley. Hypocondriaques, s’abstenir?

◊ Pativore a mis un point final à cette semaine anglaise avec sa chronique d’un titre totalement inconnu pour moi: La clairvoyance du Père Brown de Gilbert Keith Chesterton.

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Onze titres américains et  cinq œuvres anglaises chroniqués, je ne vous cache pas que c’était assez inespéré… Merci à toutes d’avoir fait vivre aussi joliment ce mois des classiques anglais et américains… Le prochain rendez-vous sera théâtral… Foulerons-nous les planches en votre compagnie?

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Je vous rappelle que le programme est ici, qu’il s’enrichit progressivement pour vous donner l’occasion de vous organiser, que vous pouvez participer ponctuellement ou durablement, et qu’en juillet, un défi russe nous attend – et pas des moindres… (J’ai mes titres, deux pavés envisagés et d’autres moins ambitieux en terme de pagination si je me sens incapable de tenir les délais.)