Challenge accepted !·Les classiques c'est fantastique·Listomanie

L’écrivain·e et la nature

La saison 5 est lancée et nous la voulions au cœur de la nature. La mobilisation fut belle et les échappées littéraires furent des plus tentantes. Prêt·es pour le bilan de la thématique de mai : l’écrivain·e et la nature ?

Par monts et par vaux

Pour commencer, Lolo ne déroge pas à sa règle et ouvre le bal avec le singulier Histoire d’une montagne, histoire d’un ruisseau d’Élisée Reclus. Madame lit nous fait prendre de la hauteur en chroniquant La Montagne secrète de Gabrielle Roy.

Échappée champêtre

Mag et Solène ont jeté leur dévolu sur Une année à la campagne de Sue Hubbell. Virginie s’offre la campagne à travers les écrits de Colette dans Les Vrilles de la vigne. Katell nous propose quant à elle de tourner les pages de L’inventaire d’une maison de campagne, roman italien de Piero Calamandrei.

Nous prolongeons notre séjour champêtre avec Dance of the Happy Shades d’Alice Munro, présenté par Pamolico. Par ailleurs, Fanny a lu de son côté Sous le vent, le roman de Maria Borrély.

Enfin, nous sommes deux à avoir tourné les pages de la nouvelle de Giono aux allures de conte philosophique: L’Homme qui plantait des arbres. Lisez donc le billet d’Ingannmic et le mien si le cœur vous en dit. Giono a aussi été sélectionné par Natiora avec le roman Le Chant du monde, et fait de l’auteur un de ceux les plus lus pour ce lancement de saison.

Ressac et bord de mer

La nature a aussi le goût de sel et c’est ainsi que Les Vagues, le roman de la grande Virginia Woolf a trouvé sa place dans notre sélection du mois grâce à Cléanthe.

Faune et flore

Indiscutablement liées la faune et la flore s’entremêlent souvent pour offrir aux récits un cadre rassurant ou hostile. Jérôme a ainsi lu la nouvelle Construire un feu de Jack London et Cristie a fait de même. London est encore et toujours à l’honneur avec le recueil L’Homme et le loup et autres nouvelles chroniqué par Violette et L’Appel sauvage chroniqué par Margot. L’Ourse bibliophile nous entraîne – sans entrain – dans le roman Raboliot de Maurice Genevoix, Goncourt – oublié – de 1925.

Et voilà encore une chronique de Natiora – pour notre plus grand plaisir – qui mêle des plumes aux pages avec Jonathan Livingston le goëland de Richard Bach.

Enfin, avec une thématique comme celle-ci, comment ne pas aller à la rencontre du grand classique jeunesse Le Vent dans les saules de Kenneth Grahame sur les conseils de Marion?

Observer le monde et la nature

Dans cette optique, Lili a lu Almanach d’un comté des sables d’Aldo Leopold et j’ai tourné les pages d’Écotopia d’Ernest Callenbach. Nos lectures en écho présentent également des bémols assez similaires. À vous de trancher ?

Les essais ont la part belle avec Un livre un thé qui a lu celui de George Sand Écrits sur la nature et l’incontournable Walden de Thoreau lu par Sarah et Laëti.

Bulles naturelles

Comme à chaque fois la dernière semaine du mois, les lecteur·rices de fantastiques classiques invitent la BD dans leur sélection. Natiora, la Queen qui nous offre trois chroniques a donc lu l’album Au coeur des solitudes de Lomig. Pour Fanny ce fut l’adaptation BD de London Construire un feu.

Quel lancement incroyable que ce premier épisode de la saison ! Merci aux fantastiques participant·es qui font vivre ces lundis classiques et RDV le dernier lundi de juin (le 24) à celles et ceux qui se laisseront apprivoiser par la thématique Tout plaquer : introspection, solitude et isolement.

BO des pages tournées : And we’ll leave it there Ólafur Arnalds, Ella McRobb

 
 

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